Rupert Roschnik


Livre sorti!

Enfin!  Le livre tant attendu sur mon aventure des frontières est sorti et disponible!

Il y a deux versions:  une en français, intitulée « Ma frontière suisse », l’autre en anglais, sous le titre « Frontier Fascination ».  Hormis la langue, les deux versions sont quasi identiques, avec la même mise en page, les mêmes textes et les mêmes images et cartes.  Les deux ont été imprimées au compte d’auteur en Angleterre.  Le prix de vente conseillé est fixé à £ 22,50.

Pour les obtenir, vous pouvez les commander auprès de « The Fast-Print Bookshop » (https://www.fast-print.net/bookshop).

De plus, pour ceux ou celles qui vivent en Suisse, vous pouvez les commander en envoyant un courriel à mafrontieresuisse@gmail.com , aussi longtemps que mon petit stock n’est pas épuisé, au prix de CHF 30, y compris la TVA suisse (2,5% à l’importation) et l’envoi par la poste.  Ne pas oublier de donner une adresse postale!

Vous ne serez pas déçu!


Merci!

C’est fini!  Après 115 jours de parcours, je suis arrivé là où j’ai commencé il y a 14 mois.  C’était une aventure fantastique et une expérience unique.

Un grand merci à tous ceux et à toutes celles qui ont suivi ma progression sur ce site, qui m’ont encouragé et qui ont rédigé des commentaires.  Vos messages étaient bien appréciés et m’ont donné beaucoup de plaisir.

Ceci sera probablement mon dernier blog.  Il y aura encore quelques photos et je mettrai à jour certaines pages.

L’avenir?  J’ai un grand nombre de photos, de diverses personnes, qu’il faudrait organiser et trier pour en sélectionner les meilleures;  il y aura sans doute quelques conférences à donner.

Finalement, je compte écrire un livre sur mon aventure!


Le dernier jour – circuit de la frontière terminé!

Le 6 août

Itinéraire:  Douane Riehen-Grenzacherstrasse – « Eiserne Hand » – douane Riehen – douane Hiltalingerstrasse

Distance:  27,4 km, à pied
Temps:  6 heures 10 minutes (plus 30 minutes pour les arrêts)
Dénivellation:  660 m à la montée, 680 m à la descente

Il s’agissait de faire le circuit de la frontière entre Bâle Ville et l’Allemagne au nord du Rhin, pour compléter le tour de la Suisse par ses frontières.  Je suis parti un peu après 8 heures avec Christoph Brändle et Urs Scholer, originaire de Bâle, ancien collègue de travail et bon ami.  La journée s’annonce belle et ensoleillée mais il y avait encore du brouillard matinal dans la vallée du Rhin.

On était bientôt dans la forêt en train de monter le Grenzacher Horn et j’ai loupé le bon chemin parmi une multitude de chemins qui s’entrecroisaient dans la forêt, ce qui nous a coûté quelques minutes précieuses.  On passait autour de St. Chrischona et traversait le vallon entre Riehen et Inzlingen, pour arriver à la ferme de Maienbühl,  Ici commence la « Eiserne Hand », une partie de la Suisse qui s’enfonce sur une distance de plus que 2 km dans l’Allemagne comme un doigt ou une lance, le tout dans la forêt, avec des chemins souvent boueux.  Il fallait bien 45 minutes pour parcourir ce « promontoire », pour finalement arriver à un endroit seulement 200 m derrière la même ferme.

A la douane de Riehen on était rejoint par Natalie, ma fille cadette, son mari Andrew et 2 de leurs 3 enfants, Léo, 12 ans et Tessa, 7 ans, qui vont faire les derniers kilomètres avec nous.  C’est donc à sept que nous montons dans les vignobles de Schlipf, les seuls vignobles du canton de Bâle Ville.  Difficile à cause de la pente assez raide et des nombreuses maisons et routes privées.  Mais nous sommes bientôt en bas pour longer une rivière qui s’appelle Wiese, pour passer sous la voie ferrée et l’autoroute près de la douane à Otterbach et déboucher finalement à la douane Hiltalingerstrasse et le port de commerce, où j’ai commencé mon périple le 5 juin 2015.  Nous sommes bien accueillis par Sally, Elke (épouse de Christoph), Inès (la fille aînée de Natalie) et mon frère Walter qui est venu spécialement de Vienne pour l’occasion.

Ce n’est pas le bon endroit pour fêter la fin du circuit;  tout le monde a donc fait le trajet en voiture jusqu’au Dreiländereck, plus propice aux célébrations.  Il ne me restait qu’à monter dans le kayak, attendre à ce que tout soit prêt l’autre côté du plan d’eau et faire encore les 200 m qui me séparaient du Dreiländereck, où m’attendaient une trentaine d’amis et de membres de la famille.  Champagne, etc!

Plus tard, la plupart d’entre nous vont terminer la fête au Restaurant Schiff à Kleinhüningen.

Photos:

1. Urs et Christoph près d’Inzlingen
2. Borne de 1600, écusson de l’évêché de Bâle
3. Borne de 1700, écusson des nobles de Schönau
4. Le vignoble de Schlipf, Lörrach derrière

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Les derniers 6 kilomètres – vidéo de Natalie Roschnik

https://youtu.be/ZK5TO4h-Ong


Le dernier bout jusqu’à Bâle

Le 4 août

Itinéraire, 1ère partie:  Laufenburg – Stein AG – Wallbach – usine électrique Rheinfelden

Distance: 27,7 km, en vélo
Temps:  2 heures (plus 10 minutes pour les arrêts)
Dénivellation:  50 m à la montée, 80 m à la descente

2ème partie:  Usine électrique Rheinfelden – Kaiseraugst (usine électrique Augst-Wyhlen) – frontière sur le Rhin en dessous de la douane Grenzach

Distance:  16,5 km, en kayak, y compris quelque 400 m de portage
Temps:  1 heure 50 minutes (plus 15 minutes pour les arrêts)
Dénivellation:  10 m à la descente

Une belle journée ensoleillée, avec des nuages qui s’épaississaient au courant de l’après-midi. Je suis parti de Laufenburg – qui a une histoire des plus intéressantes – à vélo vers 9h15.  Quelques petites montées et descentes sur des escaliers du sentier près de la rivière.  Après l’usine électrique de Laufenburg, le chemin devenait assez plat et plus tard se transformait en bonne piste cyclable.  J’ai croisé un ou deux cyclistes et un grand groupe de marcheurs.  A Bad Säckingen, il y a le plus long pont couvert en bois en Europe (on nous a raconté hier), d’une longueur de 200 m environ, voir les photos.  Après Wallbach, il y avait de bonnes routes forestières dans du terrain boisé. Je suis finalement arrivé à l’usine électrique de Rheinfelden où Sally m’attendait.  Nous avons préparé le kayak; le vélo est allé sur la voiture.

Une agréable descente sur la rivière jusqu’à Kaiseraugst, où il y a une écluse pour les grands bateaux, mais rien pour les petits. J’ai dû accoster au camping/piscine, où Sally m’a rencontré et nous nous sommes ravitaillés.  Ensuite un portage assez long (sur une route goudronnée, avec des roues sous le kayak) et encore une fois dans la rivière.  La dernière section était moins agréable – fort vent contraire, presque plus de courant, et de nombreuses installations industrielles et des quais du côté suisse (du charbon en cours de déchargement, par exemple) et des odeurs chimiques. Je suis arrivé à la frontière à Grenzach, où j’ai débarqué sur une plateforme du Club d’Aviron de Bâle (où il n’y avait personne) et j’ai monté le kayak jusqu’à la route principale. Puis je devais attendre une heure – Sally s’était trompée de route quelque part, puis se trouvait coincée dans les queues de pendulaires frontaliers.

Nous sommes revenus à un petit hôtel du côté allemand à Laufenburg où nous avions décidé de passer une deuxième nuit. Bon repas dans un restaurant chinois quasi vide.

Photos:

1. et 2. Le pont couvert en bois entre Stein AG et Bad Säckingen (Allemagne)
3. Départ de l’usine électrique de Rheinfelden
4. Cigognes à Kaiseraugst

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Une journée en kayak

Le 3 août

Itinéraire:  Usine électrique Eglisau (Rheinsfelden) – Laufenburg

Distance: 41,9 km, le tout en kayak, sauf 2 portages de 200 m environ (usines électriques Reckingen et Leibstadt)
Temps:  5 heures (plus 1 heure 10 minutes pour les arrêts)
Dénivellation:  30 m à la descente

Après une nuitée dans la petite ville historique de Kaiserstuhl, Sally et moi faisons quelques kilomètres en amont à l’usine électrique à Rheinsfelden.  La descente à la rivière est un peu délicat, une rampe très caillouteuse, mais à la fin nous pouvons mettre le kayak monoplace à l’eau et je peux partir.  4 km plus loin, Sally m’attend au pont routier de Kaiserstuhl pour des photos.  Sally m’attendait aussi aux deux portages pour un ravitaillement et à la fin du parcours.

Couverte au début, la journée devenait de plus en plus ensoleillée.  Descente sans incident, le courant variait entre 2-3 km/h et un maximum de 12 km/h (mesuré au GPS).  Beaucoup de petits remous où l’eau remonte à la surface, sans danger mais rendant plus difficile de garder une ligne droite.  A un endroit un panneau m’a surpris en annonçant des rapides (qui ne se voyaient pas sur les photos satellite) – bon, il y avait des vagues plus hautes mais ça passait sans problème. Quelques kilomètres avec un vent contraire désagréable, surtout avant Leibstadt.  Pour le reste, c’était une belle journée qui m’a donné beaucoup de plaisir.

Au portage de Reckingen, il y avait 2 chariots pour transporter des petits bateaux, où on devait mettre une pièce de monnaie comme consigne, exactement comme pour les chariots aux supermarchés.  Très pratique!

Photos:

1.  Départ de Rheinsfelden
2.  Pont à Kaiserstuhl et Burg Rotwasserstelz (du côté allemand)
3.  Vieille casemate de la Seconde Guerre mondiale (du côté suisse, une de plusieurs)
4.  Arrivée à Laufenburg

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Cyclocross à la frontière au nord du Rhin

Le 27 juillet

Itinéraire:  Pont pédestre Nohl – Rheinau – Ellikon am Rhein (côté Allemagne) – circuit autour de la frontière – usine électrique Rheinsfelden, le tout en vélo

Distance: 45,3 km
Temps: 5 heures (plus 20 minutes pour les arrêts)
Dénivellation:  620 m à la montée; 630 m à la descente

Après Schaffhouse il y a un tronçon de frontière sur le Rhin, puis un grand territoire de la Suisse au nord du Rhin – il s’agit principalement du canton de Zurich, mais aussi d’une petite exclave du canton de Schaffhouse – qui commence en face d’Ellikon am Rhein et finit en amont de l’usine électrique d’Eglisau à Rheinsfelden.  Ensuite, la frontière se trouve au milieu du Rhin jusqu’à Bâle.

Ma reconnaissance du 16 juillet a montré qu’il serait très difficile d’accéder au fleuve, à la fois en bateau et en voiture, là où la frontière rejoint le fleuve 1½ km environ en aval de Nohl (et 2½ km en aval des chutes du Rhin).  En outre, il y a 3 barrages, tous exigeant le portage du kayak, autour de la «boucle» de Rheinau, connu pour son abbaye sur une île au milieu du Rhin.  J’ai donc décidé de faire ce tronçon en vélo.

Je suis parti en voiture à 05:55 et j’ai atteint la gare d’Eglisau au nord de Zurich à temps pour remonter le vélo de Sally (qui était dans la voiture avec la roue avant détachée) et de préparer mon sac avant de prendre le train à Neuhausen (près des chutes du Rhin) à 08h40.  De la gare de Neuhausen j’avais moins de 2 km à la passerelle de Nohl, le vrai début du circuit de la journée.  J’ai suivi de bonnes pistes cyclables du côté suisse jusqu’à Rheinau, où j’ai traversé le Rhin pour faire la partie suivante du côté allemand (pas de pont à Ellikon am Rhein).

Le reste du circuit se déroulait la plupart du temps sur des chemins et des routes non goudronnées dans les forêts ou dans les terres agricoles, avec des chemins occasionnels qui n’étaient plus là ou qui étaient complètement envahis par la végétation (mais heureusement il n’y avait pas de ronces!) ou très boueux et/ou raides, ou qui menaient à travers un champ clôturé, le tout probablement un peu pire du côté allemand de la frontière. Beaucoup de montées et descentes, en tout assez épuisant.  Finalement, je suis arrivé à la fin du circuit de la journée à l’usine électrique d’Eglisau (Rheinsfelden) où il est possible pour les piétons et les cyclistes de traverser le fleuve.

Encore 3-4 km sur une route principale m’ont ramené à ma voiture à la gare d’Eglisau, d’où j’ai pu rentrer à la maison.  Aller-retour total pour la journée – un peu plus de 12 heures.

Photos:

1.  Une autre vue des Chutes du Rhin
2.  L’abbaye de Rheinau (prise le 16 juillet)
3.  Une borne intéressante, appelée Rafzerstein
4.  Borne avec écusson du Grand Duché de Baden

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Mise à jour

Le 13 juillet nous avons déposé Walter à l’auberge de jeunesse à Richterswil sur le Lac de Zurich – il prendra l’avion pour l’Espagne le 14 juillet.  Ensuite nous sommes rentrés à la maison.

Le weekend des 16/17 juillet est prévu pour faire des reconnaissances le long du Rhin en aval de Schaffhouse.  Il y a quelque 7-8 barrages et usines électriques entre Eglisau et Birsfelden et il faut décider où nous pouvons mettre et sortir le kayak et quels tronçons peuvent ou doivent se faire au vélo.

Ensuite, Sally et moi allons en Ecosse pour assister au mariage de notre fille ainée Sonia!

La reprise du parcours se fera dès le 27 juillet.

La fin (triomphale) de mon circuit des frontières suisses est prévue pour le samedi 6 août à Bâle:

1.  Arrivée en kayak au Dreiländereck vers 15.30 – 16.00
2.  Célébration et apéro
3.  Repas ensemble dès 18.00 dans un restaurant.  Tout le monde sera le bienvenu

Veuillez svp faire un petit message à Sally (sally.roschnik@fvp.ch) avant le 30 juillet si vous voulez être des nôtres pour le repas.  Merci d’avance!


Fini avec les montagnes!

Le 12 juillet

Itinéraire:  Cabane Pfälzer – Sücka – Triesenberg – Triesen

Distance:  17,5 km
Temps: 4 heures 30 minutes (plus 20 minutes pour les pauses)
Dénivellation:  170 m à la montée; 1580 m à la descente

Il a plu beaucoup pendant la nuit.  Le matin, il ne pleut plus mais le ciel est couvert, avec beaucoup de nuages cachant les sommets.  Nous décidons de descendre au Rhin le plus vite possible et quittons la cabane à 8h50.  Après 2 heures de marche, nous arrivons au Berggasthaus Sücka où nous espérons au moins un café.  Un panneau annonce qu’ils sont fermés aujourd’hui à cause d’un deuil.  Vue intéressante sur Steg – maisons et mazots tout autour d’un grand rectangle de champs cultivés (voir photo).

Une petite montée suivie d’un court tunnel nous amène aux pentes qui donnent sur le Rhin 1000 mètres plus bas.  Il fait plus froid et il y a toujours du brouillard.  Un bon chemin mène à Triesenberg où nous nous égarons un peu dans les villas et dans un parcours Vita.  Il commence à pleuvoir légèrement et nous trouvons la route principale qui descend à Triesen en lacets (ni raccourcis, ni chemins trouvés, ni sur la carte, ni dans le terrain).  Il pleut de plus en plus fort et c’est bientôt le déluge.  Sally me téléphone de Balzers où elle vient d’arriver et je lui demande de venir nous chercher.  Finalement, nous arrivons aux premières maisons de Triesen et pouvons nous abriter sous des arbres, où Sally nous retrouve, complètement trempés, à 1 km du Rhin.  Nous allons dans une auberge pour une collation et pour nous sécher.

Cette étape marque la fin du parcours montagneux entre le Samnaun et le Rhin (chaînes du Silvretta et du Ratikon).  Mes remerciements aux accompagnants – Sonia Roschnik, David Hefti, Christoph Brändle et Walter Roschnik, ainsi qu’à Sally pour la logistique!

Photos:

1.  Steg, Liechtenstein
2.  Première vue sur le Rhin

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Naafkopf – Liechtenstein

Le 11 juillet

Itinéraire:  Cabane Schesaplana – Gross Furgga – Barthümeljoch – Cabane Pfälzer – Naafkopf, 2570 m – Cabane Pfälzer

Distance:  14,0 km (9,4 km à la cabane, ensuite 4,6 km au Naafkopf aller retour)
Temps: 4 heures 50 minutes de marche (3 heures 15 à la cabane, plus 10 minutes pour les arrêts, ensuite un repas de midi à la Cabane Pfälzer avant de monter au Naafkopf (1 heure 35 minutes aller retour)
Dénivellation: 1100 m à la montée; 900 m à la descente

Beau temps.  C’était une journée assez facile.  Walter et moi avons quitté la Cabane Schesaplana à 8h10.  Nous avons progressé doucement mais sûrement à la cabane.  Il fallait traverser d’innombrables champs et ravins enneigés sur la dernière section, dont un ravin assez raide. Le Naafkopf se faisait sans sacs; des vues splendides du sommet.

Le Naafkopf est la plus haute montagne du Liechtenstein, mais partagée, car c’est aussi le point où l’Autriche, le Liechtenstein et la Suisse se rencontrent.

Demain Walter et moi descendons au Rhin pour compléter la partie montagneuse de mon circuit. Les prévisions météo sont mauvaises.

Photo 1:  Cabane Pfälzer

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Schesaplana

Le 10 juillet

Itinéraire:  Cabane Douglass (Lünersee) – Cabane Totalp – Schesaplana, 2964 m – Gamsluggen – Cabane Schesaplana

Distance:  14,3 km
Temps:  5 heures 10 minutes (plus 1 heure 40 pour les pauses)
Dénivellation:  1120 m à la montée; 1170 m à la descente

Beau temps.  Christoph devait nous quitter; Sally a conduit Walter et moi-même au téléphérique du Lünersee.  Le parking était bondé;  elle ne pouvait pas laisser la voiture assez près et elle est descendue à Brand, où elle a pu encore voir et écouter les joueurs des cors des Alpes.

De la station supérieure, Walter et moi sommes montés à la Cabane Totalp, pour une boisson, ensuite à la Schesaplana, sans problème, à part deux petits tronçons de neige un peu raide.  Belles vues du sommet.  A la descente nous bifurquons sur le chemin bien balisé mais assez enneigé menant à la Gamsluggen.  Quelques chaînes facilitent ce passage un peu délicat.  Finalement, nous suivons le Prättigauer Höhenweg jusqu’à la Cabane Schesaplana, où règne une bonne ambiance.  Nous mangeons dehors sous le soleil couchant – magnifique!

Photos:

1. Walter à la Cabane Totalp
2. A la Schesaplana
3. Gamsluggen

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