Le dernier bout jusqu’à Bâle 4


Le 4 août

Itinéraire, 1ère partie:  Laufenburg – Stein AG – Wallbach – usine électrique Rheinfelden

Distance: 27,7 km, en vélo
Temps:  2 heures (plus 10 minutes pour les arrêts)
Dénivellation:  50 m à la montée, 80 m à la descente

2ème partie:  Usine électrique Rheinfelden – Kaiseraugst (usine électrique Augst-Wyhlen) – frontière sur le Rhin en dessous de la douane Grenzach

Distance:  16,5 km, en kayak, y compris quelque 400 m de portage
Temps:  1 heure 50 minutes (plus 15 minutes pour les arrêts)
Dénivellation:  10 m à la descente

Une belle journée ensoleillée, avec des nuages qui s’épaississaient au courant de l’après-midi. Je suis parti de Laufenburg – qui a une histoire des plus intéressantes – à vélo vers 9h15.  Quelques petites montées et descentes sur des escaliers du sentier près de la rivière.  Après l’usine électrique de Laufenburg, le chemin devenait assez plat et plus tard se transformait en bonne piste cyclable.  J’ai croisé un ou deux cyclistes et un grand groupe de marcheurs.  A Bad Säckingen, il y a le plus long pont couvert en bois en Europe (on nous a raconté hier), d’une longueur de 200 m environ, voir les photos.  Après Wallbach, il y avait de bonnes routes forestières dans du terrain boisé. Je suis finalement arrivé à l’usine électrique de Rheinfelden où Sally m’attendait.  Nous avons préparé le kayak; le vélo est allé sur la voiture.

Une agréable descente sur la rivière jusqu’à Kaiseraugst, où il y a une écluse pour les grands bateaux, mais rien pour les petits. J’ai dû accoster au camping/piscine, où Sally m’a rencontré et nous nous sommes ravitaillés.  Ensuite un portage assez long (sur une route goudronnée, avec des roues sous le kayak) et encore une fois dans la rivière.  La dernière section était moins agréable – fort vent contraire, presque plus de courant, et de nombreuses installations industrielles et des quais du côté suisse (du charbon en cours de déchargement, par exemple) et des odeurs chimiques. Je suis arrivé à la frontière à Grenzach, où j’ai débarqué sur une plateforme du Club d’Aviron de Bâle (où il n’y avait personne) et j’ai monté le kayak jusqu’à la route principale. Puis je devais attendre une heure – Sally s’était trompée de route quelque part, puis se trouvait coincée dans les queues de pendulaires frontaliers.

Nous sommes revenus à un petit hôtel du côté allemand à Laufenburg où nous avions décidé de passer une deuxième nuit. Bon repas dans un restaurant chinois quasi vide.

Photos:

1. et 2. Le pont couvert en bois entre Stein AG et Bad Säckingen (Allemagne)
3. Départ de l’usine électrique de Rheinfelden
4. Cigognes à Kaiseraugst

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4 commentaires sur “Le dernier bout jusqu’à Bâle

  • Patrick and Angela Kidner

    Bravo Rupert and we hope you get a fantastic reception in Basel today. We are mortified to miss the occasion but will be with you in spirit and hope you will now enjoy a long rest! Congratulations also to Sally for all the logistical support which has obviously made the whole thing possible. With love from us both
    Patrick and Angela XX

  • Eileen Brown

    Dear Rupert – we have followed your amazing journey over these months and salute your determination and skills. Well done in every way. Thanks for sharing it too – even to as afar as new Zealand Aotearoa. Great writing. So glad you were able to achieve your dream. And a great legacy.
    What’s the next plan? Publishing the book?
    With best wishes to you and family
    Eileen

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